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poemak:solferinoko_itsua

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Solferino'ko itsua

Paroles / Hitzak

Harmen hartzera deitu ninduen
gazterik zorte etsaiak
Urrundu nintzen, herrialderat
Itzuliz usu begiak. (bis)

Zorigaitzean baitut ikusi
Solferino-ko hegia!
Alferrikan dut geroztik deitzen
Iguzkiaren argia. (bis)

Nihoiz enetzat ez da jeikiren
Goizeko argi ederra,
Zeru-gainetik nihoiz enetzat
Dizdiraturen izarra. (bis)

Betiko gaua, gau lazgarria!
Begietara zait jautsi:
Ene herria, ene lagunak
Nihoiz ez behar ikusi. (bis)

Ene amaren begi samurrak
Bethiko zaizkit estali,
Maiteñoaren begitarteak
Behin betiko itzali. (bis)

Larrainetako haritz, gaztaina,
Mendietako ithurri:
Horiek oro enetzat dire
Amets histu bat irudi. (bis)

Ene herrian, gazte lagunak
Kantuz plazar dohazi,
Eta ni beltzik, etche zokoan…
Irri egiten ahantzi. (bis)

Oraino gazte, gogoz ez hoztu,
Eta biziak lotsatzen,
Dohakabea! Er eginen dut
Jaunak ez banu laguntzen. (bis)

Ai, aski hola! Jainkoa, barkha!
Begira zure haurrari,
Kontsolamendu zerbeit emozu:
Noizbait duzun urrikari. (bis)

Traduction

L'aveugle de Solferino :

La malchance m'a appelé jeune à manier
armes, j'ai quitté le village (natif),
souvent tourner les yeux vers lui, le retour
souvent leva les yeux vers lui.

À l'Heure de Solferino Mal vu sur le terrain!
Depuis lors, invoquer en vain la lumière du soleil,
la lumière du soleil.

Plus jamais pour moi la belle née
lumière du matin jamais du haut du ciel,
briller pour moi l'étoile, briller l'étoile.

Nuit éternelle, nuit de folie! a
tombé sur mes yeux, je ne peux jamais voir voir
mon peuple, et mes amis et jamais
plus voir.

Je n'ai jamais caché l'appel d'offres
les yeux de ma mère a disparu à jamais
le visage de ma bien-aimée, a disparu à jamais.

Je mentéis la belle fleur qui jaillit à bord
des prairies, pas moi je vous en prie mentéis,
l'hirondelle surface rapide traversant
l'eau, croisière hirondelle rapide.

Les chênes et de châtaigniers des champs, les sources
montagnes, tout cela est pour moi
disparu comme un rêve, comme un rêve
disparu.

En fêtes de village, mes jeunes camarades
ils chantent à la place, et moi. triste
le coin de la maison, j'ai oublié de rire. J'ai oublié de rire!

Encore jeune, le désir de vivre, et la vie me laisser impressionner,
Malheureux sur moi. Que vais-je faire si le Seigneur
ne m'aide pas?, si le Seigneur ne m'a pas aidé?

Oh, assez pour le garder! Pardonne-moi, Seigneur,
Donnez à votre enfant fréquente une consolation, aie pitié
jamais. , Toujours pitié de lui!.

Ecoute / Entzun

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Références

poemak/solferinoko_itsua.1351197013.txt.gz · Dernière modification : 2015/06/27 00:14 (modification externe)

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